Mon parcours
Un fabuleux livre de Baptiste Beaulieu dit
« Je vais te confier un secret : un être humain, c’est une histoire. Et quand tu connais cette histoire, ça change tout ».
Permettez moi alors de vous conter quelques éléments de ma vie en lien avec Ambellire…
Une redéfinition de ma vocation
Après 14 années dans le secteur de la parapharmacie, j’ai ressenti le besoin de redéfinir ma manière d’aider et d’accompagner, en accord avec la femme que j’étais devenue.
Cela m’a conduite à revisiter mes rêves d’adolescente :
Devenir psychologue pour enfants
Être décoratrice d’intérieur
Une décoration porteuse de sens
La décoration, oui, mais avec du sens ! C’est ainsi que je me suis inscrite à l’École Française de Feng Shui, où j’ai obtenu ma certification en 2021.
Aujourd’hui, je laisse mes expertises Feng Shui en sommeil pour me tourner vers d’autres horizons créatifs, inspirés par l’atelier et le jardin.
Une créativité au service du ressourcement
J’ai souhaité élargir mes compétences en me formant à l’animation d’ateliers d’art-thérapie.
J’ai d’abord exploré la technique du mandala auprès de l’artiste peintre Mustapha Rayth
Je poursuis en abordant les pratiques du journal créatif aux côtés d’Emily Hawkes, art-thérapeute, et de Cécile Bertrand, psychologue clinicienne.
Ces approches me permettent de proposer des espaces d’expression, où chacun peut saisir ses ressources personnelles.
Une esthétique sincère et authentique
Après mon Bac, je me suis spécialisée dans l’esthétique, obtenant mon CAP et mon BP en 2004 et 2005. J’ai acquis une solide expertise du soin et de la beauté, mais au fil du temps, j’ai pris mes distances avec les codes dominants de ce milieu, où l’obsession anti-âge prend souvent le dessus.
Je défends une esthétique plus authentique : prendre soin de soi non pas pour gommer ses traces de vie, mais pour nourrir l’harmonie, le confort et l’autonomie.
Un artisanat chargé de messages
Depuis 2020, je me suis éprise du macramé, une passion qui s’est naturellement entremêlée à mon amour pour la musique.
Chaque création débute par une écoute de musique. Mais la particularité se fait uniquement sur les commandes…
Je pense à qui va être offert – ou qui s’offre ce macramé, je laisse les musiques défiler de façon aléatoire en les notant toutes sur une feuille que je vous remet avec l’objet tissé.
La musique et le macramé se rencontrent ainsi dans un dialogue créatif, racontant une histoire poétique.
Découvrez comment la musique et le tissage se rencontrent dans mes créations.
Un engagement envers les enfants
J’accueille des anniversaires pour les enfants de 4 à 11 ans, dans un cadre naturel où l’air frais, le chant des oiseaux et la curiosité sont au rendez-vous.
Ici, ils créent avec leurs mains, explorent le jardin, découvrent des anecdotes sur les écureuils, les plantes et le monde qui les entoure… tout en laissant leur imagination prendre le large.
La fête s’achève autour d’un goûter convivial, où gâteaux et boissons peuvent aussi être pensés pour être aussi bons que sains.
Plus qu’un anniversaire, c’est un moment qui nourrit la joie, la créativité et l’émerveillement.
L'histoire derrière le nom d'Ambellire
- AMeublir : Créer un sol fertile, préparer votre intérieur pour accueillir de nouvelles graines de changement.
- emBELLie : Traverser la tempête pour retrouver une clarté, un mieux être durable.
- IRE (# colère) : Accueillir et transformer les émotions fortes, telles que la colère ou la frustration, en moteurs créatifs et libérateurs.
Ambellire unit ces trois notions : le travail que l’on choisit d’entreprendre, les choix que l’on fait et l’accueil des imprévus sur lesquels on peut déposer de l’espoir. Ensemble, elles dessinent un chemin d’épanouissement personnel, ancré dans l’authenticité.
LE LOGO INCARNE CETTE VISION :
- Fleur orange du chakra sacré : symbolise la créativité et les liens relationnels.
- Corde de macramé : suggère les activités artisanales et les attaches émotionnelles.
- Feuilles de gingko biloba : invoquent la puissance de la résilience.
- Unalome : rappel que chaque chemin poursuit son avancée, même avec ses détours, et qu’il faut descendre en soi pour trouver ses ressources.